Jose Luis Leon

Le codex de bar par [Jose Luis Leon]

Tout bar a besoin de règles implicites.

Quand votre liberté entrave celle des autres, c’est qu’il est l’heure de rentrer.

Les limites de mon talent dépendent de ma capacité à rêver.

C’est l’inspiration qui fait tout. Luca Cinalli inspire mon travail. Quand vous commencez à le connaître à titre personnel, vous réalisez ce qui se passe quand vous dédiez votre vie entière à quelque chose. J’apprécie également le style de Simone Caporale, l’élégance d’Erik Lorincz et de David Cordoba, les idées et la vision de la vie qu’a Stanislav Vadrna ainsi que les opinions de Michael Menegos.

Les gens qui pensent qu’être barman n’est qu’un petit boulot m’exaspèrent terriblement.

L’information est un pouvoir. C’est seulement une fois que vous la détenez que vous êtes en mesure de proposer au client une sélection appropriée qui le satisfera.

Dans cette profession, la créativité ne devrait jamais être bridée, mais plutôt orientée.

Si je le pouvais, je choisirais Bar Refaeli pour être son barman personnel.

Le jour où j’ouvrirai mon propre bar, je me mettrai à la recherche d’un manager aussi passionné que moi pour le service.

La différence entre les cocktails qui font gagner des compétitions et ceux de tous les jours est que seuls les seconds font partie de la réalité. Je pense que les efforts devraient être concentrés sur la préparation des boisson pour les clients du quotidien.

La réussite, dans l'industrie, repose sur trois piliers : la passion, l’honnêteté et le travail acharné.

Le salaire d’un barman est très faible au Mexique. C’est pourquoi beaucoup de gens s’attachent à trouver les lieux les plus en vue pour y travailler un moment.

Je trouve qu’il est offensant et pénible de commenter ou de corriger le travail de mes barmen pendant leur service.

Battez-vous pour ce que vous aimez !